À Lubumbashi, la société Congo Dong Fong Mining (CDM), qui génère 800 millions de dollars par an grâce au cuivre, est de nouveau pointée du doigt pour déversement d’eaux polluées dans les quartiers habités.
Une population en colère
Les habitants dénoncent des eaux affectées, des odeurs nauséabondes et un risque sanitaire majeur.
« Chaque année, nos enfants, nos écoles et nos commerces sont exposés à ces eaux toxiques », s’indigne un riverain.
Une situation récurrente
Malgré les interventions sporadiques des autorités et les promesses de l’entreprise, le problème persiste. La population accuse CDM de privilégier ses profits colossaux au détriment de la santé et de l’environnement.
Appel aux autorités
Les leaders communautaires et associations locales demandent une action immédiate pour que CDM respecte enfin les normes environnementales et cesse de mettre en danger la population.
Cette énième alerte rappelle que la richesse du sous-sol congolais ne doit pas se faire au prix de vies humaines et de l’environnement.

